Pour réussir, il faut savoir bien écrire
Rares sont les personnes qui, en 2015, arrivent à écrire sans fautes d’orthographe. C’est un véritable problème qui peut porter atteinte à la crédibilité ou retarder une promotion. Par chance, il existe quelques techniques faciles à mettre en œuvre pour « muscler sa plume ».
La communication est un outil indispensable pour réussir dans la vie. Et le noyau central de la communication, c’est l’expression : orale, elle exige la maîtrise des techniques verbales et des formules ; écrite, elle nécessite d’avoir le contrôle de sa syntaxe et de son orthographe. Parce que savoir communiquer, c’est être capable d’utiliser correctement les mots afin de transmettre un message.
Le baromètre de l’orthographe, publié par le Projet Voltaire, le prouve : les fautes d’orthographe vont continuer de fleurir dans les écrits des Français. Tout comme les erreurs grammaticales et syntaxiques, qui sont légion dans l’Hexagone.
Le monde professionnel n’y échappe pas. De plus en plus de cadres, de cadres dirigeants, jeunes et moins jeunes, montrent des lacunes importantes en orthographe et en grammaire. L’effritement de ces compétences est lent et progressif, mais il existe bel et bien, et semble difficile à stopper.
D’autant que les politiques et les médias, autrefois garants de la bonne expression, sont eux-mêmes emportés dans la spirale infernale de la faute. Il n’est pas rare de voir un présentateur de télévision achopper sur l’expression « pallier quelque chose ». Ou de lire, dans un article de journal, des mots invariables comme « malgré » être affublés de pénibles « s ».